Doutes sur l'ampleur de la grippe aviaire en France
Voivi un article qui vient s'ooposer à la décision concernant la diminution de la vigilance dans le département de l'ain.
La direction des services vétérinaires ne procède plus à des analyses sur les oiseaux retrouvés morts. A partir d'aujourd'hui les volailles autour de Versailleux sont de nouveau commercialisables.
La préfecture de l'Ain a fait savoir aux éleveurs qu'ils peuvent commercialiser leur production.
LA SITUATION est pour le moins confuse du côté des étangs de la Dombes et des poulaillers de l'Ain ces derniers temps. Selon la directrice départementale des services vétérinaires, citée par Le Progrès, le ministère de l'Agriculture a cessé de comptabiliser les cas d'oiseaux migrateurs atteints du virus de l'influenza aviaire. «On ne les ramasse plus et si on les ramasse on ne les analyse plus. Les analyses coûtent trop cher, on les limite aux oies, aux buses ou aux hérons», a déclaré jeudi Catherine Dupuy, lors d'une réunion du Groupement de défense sanitaire, une instance locale réunissant professionnels, vétérinaires et fonctionnaires.
En effet, sur place, plusieurs observateurs notent que l'on continue à trouver des oiseaux morts, des cygnes et des canards notamment. Une réalité qui n'est pas signalée par le ministère de l'Agriculture qui a pourtant la mission de communiquer chaque cas nouveau de H5N1. «Nous attendons toujours des informations sur le héron découvert il y a plus de dix jours», indique-t-on dans l'Ain.
Rien sur le site du ministère de l'Agriculture, qui n'inventorie plus aucun cas depuis le 5 mars dernier. «Nos services ramassent les oiseaux morts, mais il est vrai que nous ne les analysons pas tous», reconnaît-on au ministère.
La suite de cet article ici
La direction des services vétérinaires ne procède plus à des analyses sur les oiseaux retrouvés morts. A partir d'aujourd'hui les volailles autour de Versailleux sont de nouveau commercialisables.
La préfecture de l'Ain a fait savoir aux éleveurs qu'ils peuvent commercialiser leur production.
LA SITUATION est pour le moins confuse du côté des étangs de la Dombes et des poulaillers de l'Ain ces derniers temps. Selon la directrice départementale des services vétérinaires, citée par Le Progrès, le ministère de l'Agriculture a cessé de comptabiliser les cas d'oiseaux migrateurs atteints du virus de l'influenza aviaire. «On ne les ramasse plus et si on les ramasse on ne les analyse plus. Les analyses coûtent trop cher, on les limite aux oies, aux buses ou aux hérons», a déclaré jeudi Catherine Dupuy, lors d'une réunion du Groupement de défense sanitaire, une instance locale réunissant professionnels, vétérinaires et fonctionnaires.
En effet, sur place, plusieurs observateurs notent que l'on continue à trouver des oiseaux morts, des cygnes et des canards notamment. Une réalité qui n'est pas signalée par le ministère de l'Agriculture qui a pourtant la mission de communiquer chaque cas nouveau de H5N1. «Nous attendons toujours des informations sur le héron découvert il y a plus de dix jours», indique-t-on dans l'Ain.
Rien sur le site du ministère de l'Agriculture, qui n'inventorie plus aucun cas depuis le 5 mars dernier. «Nos services ramassent les oiseaux morts, mais il est vrai que nous ne les analysons pas tous», reconnaît-on au ministère.
La suite de cet article ici