Abattage des volailles dans l'ain.
Le département le plus touché par la grippe aviaire est confronté à l'impossibilité de commercialiser sa volaille.
L’abattage qui a commencé dans la nuit de lundi à mardi dans l’Ain pourrait concerner jusqu'à 950.000 volailles.
Confrontée à l'impossibilité de commercialiser leurs volailles, une écrasante majorité des 140 éleveurs de la zone de protection établie autour de Versailleux (Ain) (où le virus H5N1 a contaminé un élevage de dindes) vont recourir à cette mesure, a estimé le responsable départemental de la FNSEA.
Cette mesure dite « de retrait » a été suggérée par le plan d'urgence économique annoncé lundi dernier par l'Etat dans l'Ain. Sa mise en œuvre dans les abattoirs a été confirmée par la direction départementale de l'agriculture (DDA) de l'Ain.
Il aura fallu une semaine pour « organiser le processus », a expliqué Daniel Martin, à l'issue d'une rencontre organisée à Foissiat (Ain) entre les éleveurs locaux et des responsables du secteur agricole, dont Jean-Michel Lemétayer, président de la Fédération nationale du syndicat des exploitants agricoles (FNSEA), venus soutenir la filière.
« Puisque la mesure fonctionne sur la base du volontariat, il fallait d'abord que les éleveurs fassent leur demande. Puis il fallait réfléchir à l'organisation: comment enlever cette volaille, comment la transporter etc...», a-t-il expliqué. Un ordre de priorité a été conçu, notamment en fonction de l'âge des volailles, a signalé Daniel Martin.
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L’abattage qui a commencé dans la nuit de lundi à mardi dans l’Ain pourrait concerner jusqu'à 950.000 volailles.
Confrontée à l'impossibilité de commercialiser leurs volailles, une écrasante majorité des 140 éleveurs de la zone de protection établie autour de Versailleux (Ain) (où le virus H5N1 a contaminé un élevage de dindes) vont recourir à cette mesure, a estimé le responsable départemental de la FNSEA.
Cette mesure dite « de retrait » a été suggérée par le plan d'urgence économique annoncé lundi dernier par l'Etat dans l'Ain. Sa mise en œuvre dans les abattoirs a été confirmée par la direction départementale de l'agriculture (DDA) de l'Ain.
Il aura fallu une semaine pour « organiser le processus », a expliqué Daniel Martin, à l'issue d'une rencontre organisée à Foissiat (Ain) entre les éleveurs locaux et des responsables du secteur agricole, dont Jean-Michel Lemétayer, président de la Fédération nationale du syndicat des exploitants agricoles (FNSEA), venus soutenir la filière.
« Puisque la mesure fonctionne sur la base du volontariat, il fallait d'abord que les éleveurs fassent leur demande. Puis il fallait réfléchir à l'organisation: comment enlever cette volaille, comment la transporter etc...», a-t-il expliqué. Un ordre de priorité a été conçu, notamment en fonction de l'âge des volailles, a signalé Daniel Martin.
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